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La compétition parentale : et l’enfant dans tout ça?

  • Photo du rédacteur: Maître Célia DANIELIAN
    Maître Célia DANIELIAN
  • 2 juil.
  • 1 min de lecture


En tant qu’avocate, j’accompagne de nombreux parents dans des moments de vulnérabilité. Une constante revient souvent dans les échanges : la pression silencieuse mais tenace d’être un “parent parfait”. 🥇


Dans une société où l’on compare et note tout — emplois, maisons, vacances — la parentalité n’échappe pas à la règle. Activités extrascolaires, anniversaires « instagrammables », repas faits maison… Le tout sous le regard permanent des réseaux sociaux, et parfois des proches et surtout de l’autre parent 👀


Résultat : un épuisement grandissant, un sentiment de ne jamais en faire assez, une culpabilité omniprésente.


La compétition parentale ne profite à personne. Elle isole, elle juge, elle fatigue. Et pourtant, la parentalité n’est pas une course. C’est une relation. Et elle se construit dans l’imperfection, avec de l’amour, du bon sens et de la bienveillance — surtout envers soi-même.


Nous n’avons rien à prouver, juste à être là, présents, sincères, humains, faire de notre mieux. 


Et si on levait un peu le pied ? Si on acceptait que l’ennui est source de créativité? Si on se soutenait plutôt que se comparer ? 

L’éducation par l’exemple est bien plus forte que des beaux discours!


Faire le choix d’un avocat formé aux modes amiables permet de garder le cap même en temps de crise : ne pas oublier que plus que les légumes bio, les cours de piano et d’anglais, les bonnes notes… l’entente parentale apporte aux enfants tout ce dont ils ont besoin pour bien grandir et s’épanouir👧👦🎹🎹❤️❤️

 
 
 

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